La Lituanie a fait preuve d'une forte détermination et d'un grand engagement dans son soutien à l'Ukraine 

 

Lors de l'ouverture du débat "C'est l'Europe" en plénière à Strasbourg, la Présidente du Parlement européen, Roberta Mestola, a remercié le président de la Lituanie, Gitanas Nausėda, pour le leadership de son pays ainsi que pour l'accueil de 74 000 Ukrainiens.

© Union européenne | Roberta Metsola, Présidente du Parlement européen, accueille Gitanas Nausėda,
Président de la République de Lituanie, au Parlement européen à Strasbourg
pour un débat en plénière sur le thème «C’est l’Europe»

Chers collègues,

Nous accueillons aujourd’hui le président lituanien, Gitanas Nausėda. 

Monsieur le Président, cher Gitanas, je vous remercie d’avoir accepté de venir devant le Parlement européen dans le cadre de notre série de débats sur le thème «C’est l’Europe». 

Cela fait plus d’un an que la Russie a lancé son invasion militaire à grande échelle contre l’Ukraine souveraine et indépendante. Durant cette période, la Lituanie n’a jamais hésité à envoyer de l’aide à l’Ukraine et reste l’un des plus fervents défenseurs de la perspective européenne de ce pays. Les Lituaniens ont accueilli plus de 74,000 Ukrainiens chez eux et leur ont ouvert leurs cœurs. Face à ce qui constitue le plus grand afflux de réfugiés de l’histoire du pays, la Lituanie est toujours restée solidaire de l’Ukraine. Je vous remercie également pour votre attachement en faveur d’une Biélorussie démocratique.

Chers collègues, notre Union est devenue plus forte et plus résiliente, et relever ces défis ensemble nous a soudés. 

Alors que le monde traverse une période de turbulences, nous devons accélérer les investissements en Europe, afin de remettre notre économie sur les rails d’une croissance stable. Monsieur le Président, vos efforts en faveur d’une stratégie de compétitivité à long terme, d’une politique commerciale ambitieuse et de conditions d’investissement favorables sont au cœur de cette vision d’une Europe meilleure et plus prospère. 

Monsieur le Président, cher Gitanas, la parole est à vous.